Nota Bene Cancer

Nota Bene Cancer est un bulletin hebdomadaire de veille bibliographique. En libre accès, Nota Bene Cancer permet à ses abonnés de gagner du temps pour se tenir informé de l’actualité scientifique et médicale dans les divers domaines de la recherche sur les cancers.

Rechercher des publications

Pour retrouver les publications signalées par Nota Bene Cancer (archives indexées à partir du n°127 du 1" mars 2012) :


Sommaire du n° 404 du 14 mars 2019

Flux RSS du Nota Bene Cancer - Étiologie (nouvelle fenêtre)

Étiologie

Facteurs exogènes : Nutrition et activité physique (4)

A partir d'une revue systématique de la littérature publiée jusqu'en décembre 2017 (4 études de cohorte incluant 2 041 689 participants et 5 études cas-témoins incluant 1 496 cas et 3 179 témoins), cette méta-analyse évalue l'association entre une consommation de boissons sucrées et le risque de cancer du pancréas

Nutrition and Cancer, sous presse, 2019 (résumé)

Menée aux Etats-Unis à partir de données portant sur 6 528 hommes sans antécédent de cancer, cette étude évalue l'association entre une supplémentation nutritionnelle en choline et en bétaïne, le risque de cancer de la prostate et le risque de cancer létal


Menée aux Pays-Bas auprès de 3 209 femmes âgées d'au moins 55 ans (durée médiane de suivi : 17 ans), cette étude de cohorte évalue l'association entre la consommation d'aliments d'origine animale et le risque de cancer du sein après la ménopause (199 cas)

British journal of nutrition, sous presse, 2019 (résumé)

Menée en France auprès de 76 442 participantes âgées de plus de 50 ans (durée moyenne de suivi : 11,2 ans), cette étude analyse, en fonction du statut ménopausique, l'association entre une supplémentation en isoflavones de soja et le risque de cancer du sein (3 608 cas) par statut des récepteurs ER


Facteurs exogènes : Exposition professionnelle (1)

Menée au Canada à partir de données portant sur 496 patientes atteintes d'un cancer épithélial de l'ovaire et sur 906 témoins, cette étude évalue l'association entre le travail posté, le chronotype auto-déclaré et le risque de développer la maladie

Cancer Epidemiology Biomarkers & Prevention, sous presse, 2019 (résumé)

Facteurs exogènes : Environnement (1)

Menée en France à partir de données portant sur 4 059 patientes atteintes d'un cancer du sein et sur 4 059 témoins, cette étude évalue l'association entre une expostion à long terme à une pollution atmosphérique au cadmium et le risque de développer la maladie en fonction du sous-type moléculaire


Facteurs exogènes : Agents infectieux (1)

Menée en Europe et au Japon auprès de 50 patients atteints de stéatose hépatique ou d'une hépatite C ou B (6 témoins) et à l'aide d'un modèle murin de foie infecté par le virus de l'hépatite C, cette étude identifie des altérations épigénétiques causées par le virus et associées au risque de carcinome hépatocellulaire après un traitement antiviral d'action directe


Facteurs endogènes (5)

A partir des données de 272 registres des cancers de 76 pays, cette étude compare, en fonction du sexe, l'incidence des cancers pédiatriques (de 0 à 14 ans) à l'échelle mondiale et par types

American Journal of Epidemiology, sous presse, 2019 (résumé)

Dossier

Menée à partir de données internationales portant sur 233 jeunes patients et 932 patients adultes tous atteints de mélanome et sur 932 témoins, cette étude de cohorte rétrospective analyse l'association entre des variants du gène MC1R et le risque de développer la maladie pendant l'enfance et l'adolescence

The Lancet Child & Adolescent Health, sous presse, 2019 (commentaire)


Menée en Suède auprès de 37 663 hommes, cette étude évalue l'association entre l'indice de masse corporelle à l'âge de 8 ans et de 20 ans et le risque de cancer colorectal à l'âge adulte (257 cas de cancer du côlon, 159 cas de cancer du rectum)


Menée à partir des données de deux études d'association sur le génome entier (une étude chinoise incluant 2 248 patients et 3 173 témoins, une étude européenne incluant 4 461 patients et 4 140 témoins), cette étude analyse l'association entre 58 polymorphismes de gènes et le risque de cancer colorectal dans les deux populations


Menée à Taïwan auprès de 659 hommes atteints d'un cancer de la tête et du cou et auprès de 659 témoins (durée médiane de suivi : 47,13 mois), cette étude analyse la relation entre des polymorphismes de gènes impliqués dans le métabolisme de l'alcool (ADH1B, ADH1C et ALDH2) et le risque de second cancer primitif, puis identifie des génotypes à haut-risque