Nota Bene Cancer

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Sommaire du n° 533 du 21 juillet 2022

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Étiologie

Facteurs exogènes : Nutrition et activité physique (3)

Menée à l'aide des données de 6 études américaines portant sur 544 016 personnes (durée de suivi : 20-37 ans), cette étude analyse l'association entre l'indice de masse corporelle chez l'adulte jeune (18-21 ans), l'indice de masse corporelle chez l'adulte, le tour de taille, la masse grasse et le risque de myélome multiple (2 756 cas)


Menée à partir de données de la cohorte européenne EPIC portant sur 327 790 personnes (durée médiane de suivi : 15 ans), cette étude analyse l'association entre 92 aliments ou nutriments et le risque de cancer du poumon (2 420 cas)


Menée à l'aide d'échantillons sanguins collectés auprès de 2 718 femmes ménopausées, cette étude analyse l'association entre le niveau plasmatique de 38 acides gras phospholipidiques et le risque de cancer du sein (905 cas)


Facteurs exogènes : Exposition professionnelle (1)

Menée à partir de données du registre suédois des cancers portant sur les individus de moins de 20 ans nés entre 1960 et 2014, cette étude analyse l'association entre une exposition maternelle ou paternelle aux solvants hydrocarbonés et aux gaz d'échappement des moteurs essence ou diesel et le risque de cancer chez l'enfant


Facteurs exogènes : Environnement (1)

Menée auprès de 451 945 personnes (âge : 50-71 ans ; durée moyenne de suivi : 12,2 ans), cette étude analyse l'association entre la lumière nocturne extérieure et le risque de cancer du foie (897 cas)


Facteurs endogènes (2)

Menée à partir des données d'une étude japonaise portant sur des échantillons sanguins prélevés sur 7 849 personnes, cette étude analyse l'association entre la concentration plasmatique de fer, ferritine ou hepcidine et le risque de cancer


Menée à l'aide d'une méthode de randomisation mendélienne et des données de deux études d'association à l'échelle du génome portant sur 372 617 personnes, cette étude analyse l'association entre la protéine C-réactive, les régulateurs inflammatoires sériques et le risque de myélome multiple