Nota Bene Cancer

Nota Bene Cancer est un bulletin hebdomadaire de veille bibliographique. En libre accès, Nota Bene Cancer permet à ses abonnés de gagner du temps pour se tenir informé de l’actualité scientifique et médicale dans les divers domaines de la recherche sur les cancers.

Rechercher des publications

Pour retrouver les publications signalées par Nota Bene Cancer (archives indexées à partir du n°127 du 1" mars 2012) :


Sommaire du n° 434 du 20 décembre 2019

Flux RSS du Nota Bene Cancer - Étiologie (nouvelle fenêtre)

Étiologie

Facteurs exogènes : Tabac (1)

Menée au Népal auprès de 549 patients atteints d'un cancer de la tête et du cou et de 601 témoins (âge : au moins 18 ans ; 80% d'hommes), cette étude analyse l'association entre le tabagisme, les habitudes de mastication, la consommation d'alcool et le risque de développer la maladie


Facteurs exogènes : Alcool (1)

Cet article fait le point sur l'association entre une consommation d'alcool et le risque de cancer aux Etats-Unis

JAMA, sous presse, 2019 (article en libre accès)

Facteurs exogènes : Nutrition et activité physique (3)

Menée en Chine auprès de 190 patients atteints d'un carcinome épidermoïde de l'œsophage et de 380 témoins (âge médian : 62 ans ; 58% d'hommes), cette étude analyse l'association entre les niveaux des biomarqueurs d'exposition aux mycotoxines alimentaires (aflatoxines et fumonisines) et le risque de développer la maladie


Menée aux Etats-Unis à l'aide de données 2010-2011 portant sur 387 patients atteints d'un cancer de la thyroïde (âge moyen : 51,7 ans ; 82% de femmes) et sur 433 témoins, cette étude analyse l'association entre une consommation de phytoestrogènes et le risque de développer la maladie

Cancer Epidemiology Biomarkers & Prevention, sous presse, 2019 (résumé)

Menée en Australie à l'aide de données portant sur 1 287 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre et sur 1 435 témoins, cette étude analyse l'association entre un indicateur caractérisant le potentiel inflammatoire de l'alimentation, le risque de développer la maladie et la survie associée


Facteurs exogènes : Environnement (1)

Menée en Belgique à partir de données 2006-2014 portant sur la population et de données du registre des cancers, cette étude analyse les variations de l'incidence des cancers de la thyroïde en fonction de la proximité des sites nucléaires belges (7 285 cas)


Facteurs exogènes : Agents infectieux (5)

Menée au Japon sur la période 1993-2013 auprès de 19 106 personnes (âge moyen : 56,7 ans ; durée moyenne de suivi : 18 ans ; 64% de femmes), cette étude analyse l'association entre les niveaux sériques des anticorps anti-Helicobacter pylori et des pepsinogènes I ou II, et le risque à long terme de cancer de l'estomac (595 cas)


Menée à partir des données GLOBOCAN 2018, cette étude estime, au niveau mondial et régional, la part des cancers attribuable à une infection

The Lancet Global Health, sous presse, 2019 (article en libre accès)

Menée en Allemagne auprès de 1 797 femmes ayant présenté de manière récurrente une néoplasie cervicale de haut grade (CIN3) entre 1990 et 2010 (âge médian : 34 ans ; durée de suivi : 31 594 personnes-années), cette étude évalue le risque de lésions pré-cancéreuses liées au papillomavirus humain au niveau de l'anus, de la vulve, du vagin et de l'oropharynx par rapport aux femmes n'ayant présenté qu'une fois ou jamais ce type de lésions


Menée en France sur la période 2008-2015 auprès d'une cohorte de 179 patients atteints d'un lymphome lié au VIH, cette étude analyse l'association entre une co-infection par le virus de l'hépatite B ou C chronique et le risque de développer la maladie, par type de lymphome


Menée à Taïwan sur la période 2004-2012 auprès de 100 058 patients infectés par le virus de l'hépatite C chronique (dont 23 735 sous traitement antiviral) et autant de témoins (âge moyen : 59 ans ; durée moyenne de suivi : jusqu'à 5,1 ans), cette étude analyse l'association entre l'hépatite C chronique, le traitement antiviral de l'hépatite C et le risque de cancer oral, par sous-type


Facteurs exogènes : Autres (2)

Menée à partir de données d'enquêtes 2007-2016 auprès de 304 779 adolescents de 89 pays dans le monde (âge moyen : 14,4 ans), cette étude analyse le rôle, dans les maladies chroniques non transmissibles, de six facteurs de risque liés au mode de vie (selon 64 combinaisons ; sédentarité, inactivité physique, faible consommation de fruits et légumes, tabagisme, consommation d'alcool et surpoids / obésité)


Dossier

Menée au Danemark à partir de données portant sur 25 738 patients atteints d'une maladie liée au système immunitaire (maladie inflammatoire de l'intestin, polyarthrite rhumatoïde, psoriasis) et ayant des antécédents de cancer diagnostiqué entre 1999 et 2016, cette étude de cohorte analyse l'association entre un traitement par inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale alpha et le risque de récidive de cancer ou le risque de développer un nouveau cancer primitif (période de suivi : 18 752 personnes-années)


The Lancet Gastroenterology & Hepatology, sous presse, 2019 (commentaire)

Facteurs endogènes (6)

Menée à partir de données de 21 pays portant sur 524 familles porteuses de variants pathogènes de PALB2 (8 830 femmes et 9 076 hommes), cette étude analyse l'association entre ces variants et le risque de cancer du sein (hommes et femmes), de l'ovaire, du pancréas, de la prostate et de cancer colorectal

Journal of Clinical Oncology, sous presse, 2019 (article en libre accès)

Menée aux Etats-Unis à partir du séquençage de l'exome entier de 262 personnes ayant des antécédents familiaux de cancer du poumon, cette étude identifie des loci de susceptibilité à la maladie sur les chromosomes 12q, 4q et 7p


Menée aux Etats-Unis auprès de 1 008 patients atteints d'un cancer du poumon et de 924 témoins, puis validée sur 498 patients et 455 témoins (âge : 21-89 ans), cette étude analyse, en fonction de la présence d'une bronchopneumopathie chronique obstructive, les effets de polymorphismes à simple nucléotide de gènes impliqués dans la voie inflammatoire principale sur le risque de cancer du poumon


Menée auprès de 23 572 patients atteints d'un cancer colorectal en Asie de l'Est puis répliquée sur 58 131 patients d'origine européenne et auprès de 116 047 témoins au total, cette étude d'association sur le génome entier identifie de nouveaux loci de susceptibilité à la maladie

Cancer Epidemiology Biomarkers & Prevention, sous presse, 2019 (résumé)

Menée en Chine à l'aide du séquençage de l'exome entier d'ADN collecté auprès de 831 patientes atteintes d'un cancer du sein et de 839 témoins, puis à l'aide du génotypage de gènes de 1 628 patients et 1 943 témoins, cette étude identifie des variants rares des gènes OGDHL et BRCA2 associés à la maladie


Menée auprès de 1 038 patients atteints d'un carcinome urothélial et ayant réalisé des tests génétiques (âge moyen : 58 ans), cette étude identifie des variants constitutionnels pathogènes associés à la maladie après en avoir estimé la prévalence

Genetics in Medicine, sous presse, 2019 (article en libre accès)