Fiches repère

Dépistage

Papillomavirus et cancer (juillet 2018)

Papillomavirus et cancer

Plus de 6 300 cancers incidents par an sont liés aux papillomavirus humains (HPV). Ces cancers concernent majoritairement les femmes, mais aussi les hommes pour près d'un tiers. Cette nouvelle Fiche repère fait le point sur les données scientifiques récentes autour des HPV et du cancer : données épidémiologiques, localisations spécifiques, prévention par la vaccination et dépistage.

Prévention

Couverture Fiche repères UV-2021

Rayonnements ultraviolets et risques de cancer

L’exposition au rayonnement ultraviolet (UV) est le principal facteur de risque environnemental des cancers de la peau. Avec plus de 100 000 nouveaux cas par an, les cancers cutanés (carcinomes basocellulaires, épidermoïdes et mélanomes) sont les cancers les plus fréquents.

Cette fiche repères fait le point sur les sources d'émission d'ultraviolets, leurs effets biologiques, les données épidémiologiques et les gestes de prévention.

Nutrition et prévention des cancers (décembre 2019)

Nutrition et prévention des cancers

Cette Fiche repère fait le point sur les facteurs de risque liés à la nutrition (activité physique incluse) : alcool (8% des cancers), alimentation déséquilibrée (5,4%) et surpoids/obésité (5,4 %) *. En France, le nombre de nouveaux cas de cancers pouvant être prévenus par des actions de prévention nutritionnelle s'élève à plus de 70 000 par an.

* [1] CIRC. Les cancers attribuables au mode de vie et à l’environnement en France métropolitaine. Lyon : International Agency for Research on Cancer, 2018.

FRPESTRISK14

Pesticides et risques de cancers

Cette fiche repère s'adresse aux professionnels de santé, aux chercheurs, aux acteurs politiques et au grand public. Elle dresse un état des lieux des connaissances sur les principaux types de pesticides, leur utilisation en France, les sources et voies d'exposition de la population à ces molécules, ainsi que leur impact sur la santé, en particulier en ce qui concerne les risques de cancers. Ce document fait aussi le point sur les mesures nationales et européennes qui ont été prises afin de réduire l'exposition, notamment professionnelle, et l'imprégnation des populations aux pesticides.

FRPARTFINES13

Particules fines, dont diesel, et risque de cancer

Les connaissances des effets de la pollution particulaire sur la santé ont permis ces dernières années d’orienter les actions et les politiques de réduction de la pollution atmosphérique, notamment en milieu urbain. Malgré des progrès constatés dans la réduction des émissions atmosphériques de plusieurs polluants, les particules représentent un problème environnemental et sanitaire à part entière. En particulier les émissions de particules diesel, substance récemment classée cancérogène pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).

Cette fiche repère dresse un état des lieux des connaissances sur les caractéristiques des particules atmosphériques, les sources d’émission de particules fines en France et l’exposition de la population française à ces particules, ainsi que l’impact de ces particules sur la santé avec, notamment, le cas des particules diesel vis-à-vis du risque de cancer.

Cette fiche fait aussi le point sur les mesures visant à réduire l’émission de ces particules, notamment aux niveaux national et européen.

Cancers professionnels

Cancers professionnels

Les cancers professionnels résultent d'une exposition à certains produits ou procédés dans le milieu du travail. Ils peuvent faire l'objet d'une reconnaissance en maladie professionnelle. En 2007, le nombre de cancers reconnus comme d'origine professionnelle s'élevait à 2 003 cas contre 1 857 en 2006, en hausse de 7,9%. L'amiante, le benzène, les rayonnements ionisants et les poussières de bois étaient responsables de 98% de ces pathologies. Toutefois, le rôle des facteurs de risque au travail est souvent ignoré, surtout quand la maladie survient après la cessation d'activité. De plus, la relation de cause à effet entre l'exposition à un agent et le développement d'un cancer reste difficile à mettre en évidence.

Amiante et mésothéliome pleural malin

Amiante et mésothéliome pleural malin

L'amiante est une matière fibreuse faite de silicate de calcium et magnésium, utilisée jusqu'en 1997 dans les bâtiments pour ses propriétés ignifuges. Il est aujourd'hui avéré que l'exposition à l'amiante, sous toutes ses formes, est le premier facteur de risque de développer une tumeur maligne, le mésothéliome. Ce cancer touche principalement la plèvre ? membrane enveloppant les poumons. Dans la majorité des cas, le diagnostic est tardif car les signes cliniques ne surviennent qu'à un stade avancé. Depuis les années 1950, le nombre de cas de mésothéliomes en France progresse d'environ 5 à 10% par an. Il s'agit d'une maladie à déclaration obligatoire depuis 2012.

Sevrage tabagique et prévention des cancers

Sevrage tabagique et prévention des cancers

Le tabac représente la principale cause de mortalité évitable, toutes maladies confondues. Il constitue notamment le premier facteur de risque de certains cancers. Or, en France, malgré les politiques sanitaires menées depuis les années 1990 et les dispositifs d'aide au sevrage tabagique, la situation se détériore : parmi les 15-75 ans, on comptait 30% de fumeurs quotidiens en 2010. Le sevrage constitue pourtant la meilleure stratégie de réduction du risque de mortalité, notamment par cancer. Quel que soit l'âge, la consommation quotidienne moyenne et la durée du tabagisme, il y a toujours un bénéfice à s'arrêter de fumer.

Soins

Jeûne, régimes restrictifs et cancer (novembre 2017)

Jeûne, régimes restrictifs et cancer

Quels sont les bénéfices et les risques du jeûne vis-à-vis du cancer ? Depuis quelques années, le jeûne et les régimes apparentés (restriction calorique, glucidique, protéique) font l’objet d’un engouement de la part du grand public du fait d’une large médiatisation de sa pratique et de ses potentiels effets sur le bien-être, la réduction du risque de maladies comme certains cancers ou même sur l’efficacité et la tolérance des traitements associés.
Les données de cette synthèse sont issues du rapport d’expertise collective menée par le réseau National Alimentation Cancer Recherche (NACRe) soutenu par l’Institut national du cancer.