Evolutionary adaptations to risk of cancer: Evidence from cancer resistance in elephants

A partir d'échantillons sanguins prélevés sur 8 éléphants d'Asie et d'Afrique, sur 10 patients présentant un syndrome de Li-Fraumeni et sur 11 témoins sains, cette étude suggère que la présence de multiples copies du gène TP53 dans le génome des éléphants permet de rendre compte, dans cette espèce de mammifères, d'une mortalité par cancer plus faible qu'attendue en raison de ses dimensions corporelles

JAMA, sous presse, 2015, éditorial en libre accès

Résumé en anglais

Paradoxes can be intellectually challenging and illuminating. The eponymous Peto paradox originated approximately 40 years ago when Peto, along with his colleagues Doll and Cairns, highlighted the observation that cancer risk does not appear to scale with size in the animal kingdom. The underlying premise was that more cell division (to make and sustain a larger animal) along with longer life span might be expected to carry a proportionally greater mutational and malignancy risk.